Ces dernières années ont vu monter des débats sur ce sujet. Les avis restent partagés quant à l’application de la peine de mort. Pour l’exécution d’un détenu, diverses techniques peuvent être employés. Considéré comme barbares pour certains et justice pour d’autres, explorez ici les méthodes de condamnation à la mort.
Les pratiques les plus connues
Actuellement, la situation concernant cette sentence est critique, lisez un article sir ce thème dans https://www.francelemagazine.fr/ qui expose encore plus. D’abord, la manière d’exécution la plus répandue dans la culture populaire est l’électrocution. Elle a été mise en place aux Etats Unis en 1880. Cette sentence est prononcée pour une personne condamnée dans neuf Etats fédérés. Ensuite, la pendaison, très ancienne comme méthode certes, mais encore pratiquée dans quelques pays de nos jours.
L’injection létale, elle est utilisée pour la première fois en 1982 et très présente aux États unis encore, en Chine et en Thaïlande. Sanglé sur une table, le condamné a un cathéter inséré dans une veine. Une dose mortelle d’une ou plusieurs substances chimiques y sont par la suite injectées. En général, les autorités utilisent produits comme du thiopental de sodium, le bromure de pancuronium et le chlorure de potassium.
Les autres recours pour l’exécution
La plupart des gens l’ont peut-être aussi déjà vu dans un film, des prisonniers cagoulés mis face à un mur et des officiers qui les vise avec un fusil par derrière. En effet, c’est l’exécution par arme à feu. Un soldat plus gradé donnera le signal pour les tirs.
Celui qui suit est plus sanglant que les autres, la décapitation. Elle est pratiquée dans un seul pays actuellement, l’Arabie Saoudite. Enfin, il existe la lapidation qui se pratique en Iran, Yémen, Afghanistan, Soudan et aussi au Nigeria. La personne est d’abord enterrée jusqu’à la taille avant qu’on lui jette des pierres.